La série des « Articulations » est motivée par la mise à l’épreuve de l’image photographique, confrontée à l’assertion où, une photo est décrite comme étant à la fois un témoin bavard qui fait preuve exhaustivement d’un réel qu’elle décrit et d’autre part comme muette car capable d’endosser n’importe quel sens ou sous titre que l’on pourrait lui soumettre.